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La myotherapie chez le sportif.

Les sportifs sollicitant par définition leurs muscles d’avantages que les autres sont sujets à de nombreux problèmes liés à la pratique. La myotherapie encore appelée brachy-myotherapie traite le muscle en le raccourcissant de manière passive. Les muscles traités sont les muscles dit toniques. Ce sont les muscles profonds responsables de l’équilibre et du maintien de telle ou telle position.

La myotherapie traite donc les pathologies du sportif d’un angle de vu diffèrent avec une grande efficacité. En effet, on ne traite pas l’os par le cracking. Mais on détend le muscle contracture qui tirant sur l’os a déplacé celui-ci de sa position anatomique normale.

Ainsi la myotherapie est remarquablement efficace pour les pathologies sportives :

C’est la raison pour laquelle j’assure un suivi hebdomadaire des athlètes de l’équipe nationale de Thaïlande et notamment les perchistes.

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Les 4 grandes approches en therapies manuelles

Afin de comprendre un peu mieux en quoi la Myothérapie (Ostéo- myothérapie) se distingue des autres thérapies manuelles, nous allons résumer les différentes approches pratiquées de nos jours.
L’Ostéopathie : quasiment toutes les thérapies manuelles avec des approches parfois totalement différentes, portent ce nom. On rencontre parfois les termes de Vertébrothérapie ou Chiropraxie.

La Myothérapie: ce terme désigne aussi une thérapie manuelle (différente de la Brachy- myothérapie) , mais selon une approche spécifique indiquée par son nom, Myothérapie = traitement des muscles.
Afin de ne pas confondre la Brachy-myothérapie avec d’autres méthodes différentes mais utilisant le même terme (notamment aux Etats –Unis), nous utiliserons le terme de Brachy-myothérapie qui est manuelle.
La Brachy- myothérapie est donc le traitement des muscles raccourcis par une contracture.
La méthode décrite ici est une thérapie manuelle s’adressant donc aux muscles contracturés. Suite à un choc récent ou ancien, la contracture est maintenue par une boucle médullaire monosynaptique ; c’est la cause de la plupart des troubles communs de l’appareil locomoteur, donc de la plupart des douleurs articulaires ou névralgies. (il manquait des petits mots)

La 1ère méthode apparue en Occident moderne de type cracking, fut mise au point par l’américain Still. Elle est basée sur un diagnostic, qui se fait d’après les positions, blocages ou mouvements des os, et agit par la manipulation des os.

La 2ème est l’Ostéopathie dite cranio- sacrée mise au point aux Etats- Unis par Sutherland vers 1943 ; il observe les micro-mouvements du corps et les corrige en cas de fonctionnement irrégulier, source de douleurs. Le diagnostic se fait par les positions ou mouvement des os et le traitement se fait avec facilité, sans forcer, tout en douceur, donc sans risque.

La 3ème est l’Ostéopathie myotensive  qui consiste à tirer sur le muscle. La méthode Mézières semble pouvoir être classée dans ce groupe.

Enfin, on s’est aperçu que raccourcir un muscle contracturé (selon un protocole précis) levait cette contracture. Peu d’écoles utilisent pourtant ce principe, à part celle du Strain Counterstrain de feu Lawrence Jones depuis 1954 aux Etats-Unis. Malgré ce point commun ( le raccourcissement musculaire thérapeutique), c’est une méthode musculaire différente sur tous les autres points de la Brachy- myothérapie, enseignée depuis 1989 aux médecins ostéopathes et aux kinésithérapeutes de France, Belgique, Suisse et maintenant de Thaïlande, notamment du point de vue du diagnostic, mais aussi du protocole thérapeutique.

Source: Traite de Myothérapie, tome 1

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Hanche douleur

Douleur de la hanche

Classiquement, la principale cause des douleurs de hanche est l’arthrose. Or nous avons vu que l’arthrose ne peut pas provoquer de douleurs. L’arthrose se caractérise par une destruction du cartilage articulaire puis une restructuration de l’os sous-chondral : densification, géodes, ostéophytes. Or le cartilage articulaire n’est pas innervé, et l’os sous-chondral guère plus. De plus cette théorie ‘officielle’ fait l’impasse totale sur la cause première de l’arthrose…

Une autre raison, est qu’on trouve des douleurs sans arthrose (ni signe d’aucune autre maladie), au moins aussi souvent que des douleurs avec arthrose. La concomitance est donc loin d’être constante. D’autant qu’on parle souvent d’arthrose sans le moindre signe radiologique réel (car le diagnostic est purement radiologique, IRM et scanner ne servant à rien), ou au vu d’un simple pincement articulaire, qui n’est en général révélateur que d’une compression de l’articulation.

Cette compression permanente ne peut être due qu’à une contracture d’un muscle qui traverse l’articulation (le poids n’y est pour rien, c’est admis). Contractures qui sont, elles, toujours présentent en cas de douleurs de hanche, avec ou sans arthrose. Si l’on traite ces contractures par Brachy-myothérapie, les douleurs disparaissent en général, et ce, d’autant plus vite que le problème est pris en compte précocément ;  l’arthrose éventuelle est toujours là , celle-ci n’était donc pas la cause des douleurs.

Chaque année sont posées en France plus de 80.000 prothèses de hanche (partielle fig. 3, ou totale fig. 4). Ce qui est loin d’être une panacée : les douleurs séquellaires ne sont pas rares, et elles sont souvent importantes. Tant qu’il n’y a pas blocage par des excroissances osseuses  ou une soudure complète entre les deux parties de l’articulation, la mobilité est toujours possible. Il vaut donc mieux commencer par traiter les contractures par Myothérapie, et garder la chirurgie pour les échecs, il sera toujours temps d’opérer, mais si la prothèse est un échec, cela devient plus difficile à traiter .

Source: www.brachy-myotherapie.com

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Mal de dos inflammatoire savoir identifier les douleurs

Le mal de dos, dorsalgie et lombalgie.

La hernie discale est-elle la cause des douleurs lombaires et sciatiques?  Tout comme l’arthrose, n’est-elle pas plutôt une conséquence de ce qui crée ces douleurs, à savoir la contracture musculaire ? Le mal de dos  (lombalgie et dorsalgie ) est d’origine musculaire.

On a une hernie discale visible sur une IRM, mais on oublie son origine. Elle doit bien avoir une cause, pas forcément visible sur cette image ; cause qu’on pourrait cependant facilement retrouver en palpant le malade : la contracture musculaire. Or c’est celle-ci qui provoque la douleur.

D’ailleurs si l’on veut bien y réfléchir on peut admettre qu’une hernie discale pourrait éventuellement, comprimer un nerf et provoquer une douleur sciatique. Par quel mécanisme une hernie discale peut-elle provoquer une douleur lombaire ? Et même en cas de sciatalgie la question se pose : qu’est-ce qui a provoqué cette hernie discale ?

Bien que les sciatalgies et les lombalgies soient souvent associées (on parle alors de lombosciatiques), pour simplifier l’exposé nous les distinguerons.

La douleur lombaire, le fameux ‘mal de dos’, touche 5 à 10 % de la population. On estime que 80 % des personnes en ont souffert à un moment ou un autre ; 10% des lombalgiques en arrêt de travail le sont encore après 6 mois d’évolution.

Les lombalgies représentent près de 10% des consultations chez les généralistes. Au 2e rang après… les rhumes. Et encore, on estime que les 3/4 des malades ne consultent pas. Cette pathologie est à l’origine de 7% des arrêts de travail, 8% des actes de radiologie. 2 à 3 % des prescriptions de médicaments, 30% des prescriptions de kinésithérapie. Elle est la cause de 13% des invalidités.

Les coûts médicaux directs dépassent largement le milliard d’euros, et les lombalgies sont à l’origine de quelque 4 millions de journées de travail perdues chaque année. Ces chiffres datent des années 1990. Nous n’avons pu retrouver aucune donnée française plus récente. Il n’est pas déraisonnable d’estimer que ces coûts peuvent avoir triplé voir quintuplé en 10 ans, car, comme nous le verrons plus loin, leur augmentation est exponentielle.

On estime que la plupart des lombalgies durent moins de 3 mois, que l’essentiel des coûts est donc dû aux 7% de lombalgies chroniques. Cela  nous semble discutable, car en pratique, de nombreux frais sont engagés pour les lombalgies aiguës. De plus elles récidivent dans la moitié des cas au moins.

Le mal de dos (lombalgie, dorsalgie et sciatalgie) sont d’origine musculaire.

 

Source: www.brachy-myotherapie.com

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L’arthrose

Chacun, répète une chose jamais démontrée et à vrai dire scientifiquement peu probable, que les douleurs articulaires seraient dues à l’arthrose. Au point que beaucoup de malades, au lieu de dire : « j’ai mal » disent : « j’ai de l’arthrose ».

L’arthrose origine et évolution?

  1. Le remaniement osseux qu’est l’arthrose ne peut se déceler que par une radiographie,ou  lors d’une opération chirurgicale. On ne peut en faire le diagnostic autrement.

Cependant il y a beaucoup de douleurs articulaires pour lesquelles on ne décèle aucun signe d’arthrose. Inversement, il n’est pas rare de trouver, en faisant une radiographie pour une autre raison, des signes d’arthrose à des articulations dont le patient ne souffre nullement.

Mais si l’on examine une articulation douloureuse, on retrouve toujours des contractures musculaires. Or si l’on traite spécifiquement ces contractures, et seulement elles, par Brachy-myothérapie, les douleurs cessent en général totalement et définitivement, sans que l’arthrose ne disparaisse pour autant.

L’arthrose ne peut donc pas être la cause de la douleur.

  1. En cas de douleurs articulaires, on constate souvent également une limitation du mouvement de cette articulation. Or, ni douleur ni limitation de mouvement ne peuvent être dues à l’os ou au cartilage qui le recouvre : ils sont peu ou pas innervés, donc ne peuvent pas être responsables de douleurs. Leur structure favorise les mouvements par un glissement harmonieux des deux pièces osseuses qui forment l’articulation. Il faut d’ailleurs remarquer que même si ces os étaient un peu déformés ou le cartilage usé, cela n’empêcherait pas le mouvement.
    L’autre élément important de l’articulation c’est le système musculaire. Par leur contraction réflexe les muscles protègent l’articulation en cas de choc. Cependant on constate souvent, quand le choc a été important, que la contraction réflexe ne cesse pas : c’est devenu une contraction involontaire permanente, ce qu’on appelle une contracture.

En faire le diagnostic est très simple, les critères sont précis. Or, un des symptômes de la contracture est la douleur, permanente ou intermittente, aggravée par la contraction ou l’étirement du muscle. Et comme celui-ci, par définition, traverse l’articulation, la douleur est souvent ressentie comme articulaire.
Ce qui importe surtout, c’est qu’un traitement s’adressant aux seules contractures guérit les 2/3 des douleurs articulaires – sans même compter les améliorations notables. C’est tout l’intérêt de la Brachy-myothérapie.

 

Source: www.brachy-myotherapie.com

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